Je commence à écrire cet article en n’ayant aucune, mais alors AUCUNE, idée de la façon dont il va se terminer, ni même d’ailleurs s’il va se terminer, ni même très franchement de quoi il va causer. Bon, je sais
Un article sur le confinement

Je commence à écrire cet article en n’ayant aucune, mais alors AUCUNE, idée de la façon dont il va se terminer, ni même d’ailleurs s’il va se terminer, ni même très franchement de quoi il va causer. Bon, je sais
Etant donné qu’il s’agit très précisément de mon job et que je n’ai nulle envie de cracher sur cette douce main qui me nourrit gracieusement, il est évident que ma réponse va être claire, nette et sans appel : OUI.
J’ai une amie qui s’appelle Stepfanie. Pas Stéphanie, Stepfanie. Avec un P, et avec un F. Stepfanie. Du coup, elle passe son temps à expliquer que non, c’est pas une faute, que c’est voulu, et à donc devoir expliquer l’origine
Tous les mercredis (sic), sur la page Facebook du blog [NDLR : suis-y-moi d’ailleurs ! c’est gratuit], je publie un thèse-moignage. « C’est-à-dire ? », te dis-tu. C’est bien simple : j’ai demandé à des doctorant·es et docteur·es issu·es de divers
« Je vous présente ma thèse, 5 ans et demi de gestation, elle mesure 469 pages et pèse 1674 notes en bas de page. La maman est fatiguée mais va bien ». Voilà le passage quasiment obligé en termes de publication sur
Historien vaut mieux que deux tu l’auras What-Sup is back ! Après cette petite trêve hivernale, What-Sup revient plus fringuant que jamais avec ce nouveau format : « Faire une thèse… ». Tous les premiers lundis du mois, les billets seront consacrés à une