PREVIOUSLY sur What-Sup : Dans l’épisode précédent, je vous racontais que tout s’était globalement bien passé avant ma soutenance. J’avais un jury globalement chouette, j’avais globalement géré mes démarches administratives, et il faisait globalement chaud en juin 2017. En vrai si tu n’as pas lu l’article précédent, lis-le parce que sinon rien de tout cela n’aura du sens, et bon moi j’aime pas ça quand les choses n’ont pas de sens (faux). Et pour te remercier d’avoir lu jusqu’au bout, je propose en fin d’article quelques conseils pour la soutenance ! #derien

On en était donc arrivé au jour J, ce 2 juin 2017, le jour où j’ai soutenu publiquement ma thèse de doctorat en Histoire à l’Université Saint-Louis – Bruxelles, en présence de 5 des 7 membres de mon jury. La veille, j’ai pas trop mal dormi : une tisane, un dernier coup d’œil à ma tenue en me disant que c’était un bon choix (spoiler : c’était un mauvais choix) et à 21h30 au lit.

 
Jour J

Le Jour J, j’étais contente parce que j’aime bien être au centre de l’attention (non) (si un peu). J’étais surtout contente parce que c’est le jour que j’attendais depuis 5 ans et que j’ai sincèrement pensé ne jamais voir venir. J’ai sérieusement pensé arrêter ma thèse à plusieurs reprises (je parle d’ailleurs de l’arrêt de la thèse ici) donc j’ai assez peu imaginé comment se déroulerait ma soutenance. Et là j’y étais. Je me souviens de beaucoup de détails de cette journée du 2 juin 2017. Je me souviens que toutes les personnes que je croisais me disaient « héééé aloooorrrssssss c’est le grand jouuuur », je me souviens d’avoir placardé, avec mes gentil·les collègues, mes affiches de soutenance partout dans mon université avec un fléchage moche mais efficace. Je me souviens d’avoir eu des soucis concernant le frigo qui devait être dans mon local de soutenance, mais je me souviens plus trop de comment le problème avait été réglé, et je me souviens avoir eu l’impression que tout le monde était plus stressé que moi.

Fille heureuse, dans l’inconscience totale des conséquences néfastes du choix de sa tenue

Je me souviens surtout que j’avais super mal choisi ma tenue (nous y voilà). Souviens-toi qu’on était au milieu d’une canicule et moi, comme une idiote, j’ai mis un PANTALON avec une BLOUSE À LONGUES MANCHES. Non mais tu le crois ça ? Surtout que 2 semaines avant j’avais fait une razzia pas possible chez Sézane et que j’avais acheté une robe SPECIALEMENT POUR L’OCCASION. Puis je me suis dit que ça allait être too much, que j’avais pas envie de faire la meuf qui met une robe pour sa soutenance (?!) et donc j’ai voulu faire la meuf classe en pantalon-escarpins. N’importe quoi. Ça parait trivial dit comme ça, mais sérieusement : choisissez bien votre tenue. Une soutenance dure plusieurs heures (même si elles ont tendance à raccourcir quand elles sont précédées d’une défense privée), donc il faut être à l’aise. Cela signifie aussi qu’il faut pouvoir anticiper votre position : moi je savais que j’allais être debout face à un pupitre une bonne partie du temps, et que j’allais m’asseoir quand les membres du jury allaient parler. Bref j’ai fait des squats pendant 3h.

J’ai pas compté scrupuleusement mais je pense que pas moins de 40 personnes ont assisté à ma soutenance : ma famille, mes collègues, proches ou lointains, historien·nes et juristes essentiellement, mes ami·es, proches et moins proches, des gens qui ont même passé une frontière pour venir voir à quoi ressemblait une soutenance et découvrir Bruxelles sous le soleil, j’ai même eu une de mes étudiantes, ma prof d’Histoire de secondaire, des gens avaient pris congé spécifiquement pour venir, d’autres n’avaient rien d’autre à faire, mais dans tous les cas tout le monde était là pour mon sacre et c’était super chouette. J’avais proposé de soutenir à 14h30 parce que ça laissait le temps à mes membres de jury extérieures d’arriver à leur aise à Bruxelles le matin, et que c’était clairement l’heure de l’apéro une fois la soutenance terminée. Par contre, c’était le 2 juin, donc en pleine période d’examen. Je n’ai donc pas eu droit à la belle salle dans laquelle les soutenances ont lieu d’habitude, et j’ai soutenu dans un local de cours qu’il était possible d’aménager à ma guise. Grâce à Michel (#bigup), mon local était prêt quand je suis arrivée, j’avais mon pupitre, la table de mon jury dirigée vers moi mais aussi un peu inclinée pour que le public puisse les voir (je trouve ça toujours triste quand quelqu’un, que ce soit le jury ou le·la candidat·e, tourne le dos au public !), le « bar » au fond était prêt à être rempli (puis vidé) dès ma proclamation. Bref, tout était logistiquement prêt.

Discours de soutenance

Toi : « C’est super Sophie, mais on s’en fout de savoir ce que tu portais et si ton local était orienté sud-ouest, on veut savoir comment s’est passée la soutenance en elle-même ! »

Moi : « Oui ok mais je suis en plein exercice cathartique et je suis en train de revivre des émotions oubliées depuis 3 ans alors laisse-moi faire »

Je me suis posé beaucoup de questions sur la façon dont j’allais structurer mon discours de soutenance. J’avais envie de me faire plaisir et de trouver un angle original, qui soit équilibré entre une présentation à la portée de mon public qui, me semble-t-il, n’était pas à proprement parler spécialiste de la législation des 8ème et 9ème siècles, mais qui soit d’un niveau en adéquation avec l’exercice de soutenance de doctorat. Je pense que cet équilibre est essentiel, c’est l’occasion de vulgariser ses recherches tout en prouvant la maitrise qu’on a d’un sujet pointu sur lequel on a travaillé pendant des années.

C’était aussi l’occasion de revenir sur mon parcours en mettant en quelque sorte mes proches au centre de l’exercice. J’ai donc commencé mon discours de soutenance en m’excusant d’avoir répondu trop vaguement et de façon délibérément évasive aux questions qui m’ont été posées sur ma thèse pendant des années : « ah tu travailles sur quoi ? et tu as des textes qui parlent de ça ? il y avait quelque chose de spécial à l’époque que tu étudies ? raconte un peu comment les coupables étaient punis ? etc. ». J’ai articulé mon discours de soutenance autour de ces questions : en bref, c’était une ultime Foire Aux Questions. Toutes mes slides (16 en tout) répondaient à une question (dont la fameuse « qu’est-ce que tromper ?» pour la partie où j’abordais l’adultère), et j’ai pu aborder comme ça une bonne partie des points essentiels de mon travail de recherche. J’ai intégré des Memes, des références à la culture actuelle et j’ai terminé ma présentation sur cette illustration (ici à droite) tellement vraie : au final, ma maman a adoré mon travail et c’est ça qui compte vraiment. Autrement dit, tout ce qui va suivre n’est pas aussi important que la fierté d’en être arrivée là et de pouvoir soutenir ma thèse devant elle. Hashtag poussière dans l’œil.

Ce sont ensuite mes promoteurs qui ont pris la parole. En Belgique, les promoteurs font partie intégrante du jury, et traditionnellement, ce ne sont pas eux ou elles qui posent les questions piégeantes. Ils commencent en général par retracer le parcours du ou de la doctorante (en mode laudatio), éventuellement l’évolution du projet de recherche, et posent des questions générales pour baliser les discussions. C’est souvent émouvant parce que bon, c’est qu’on s’attache à ces p’tites choses et que souvent la soutenance vient clore une relation somme toutes étroite longue de plusieurs années. L’un de mes promoteurs a dirigé mon mémoire puis ma thèse de doctorat. Il est le 1er prof à qui j’ai été parler à l’unif, j’étais en méga mode 1ère de classe à ses cours, toujours devant à l’écouter religieusement, et c’est essentiellement chez lui que j’allais pleurer quand ça n’allait pas. Mon second promoteur est celui qui a gentiment accepté de récupérer les pots cassés de ma thèse en mille morceaux, alors que rien ne l’obligeait à le faire. Il a été à mes côtés pendant peu de temps, mais son regard, un peu plus extérieur, m’a fait réfléchir différemment. C’est aussi grâce à lui que j’ai pu passer plusieurs heures à corriger mon manuscrit la veille de mon dépôt parce qu’il m’a fait remarquer que j’avais confondu les termes « étanche » et « perméable ». Bref, comme je savais que je n’allais pas poursuivre une carrière académique, ma soutenance marquait la fin de ma relation scientifique avec eux et comme je suis du genre émotief, j’étais vraiment contente de les entendre. Ensuite chaque membre du jury a pris la parole, et on est partis sur un traditionnel question/réponses.

Au bout d’1h30, je sentais l’attention générale faiblir, on entendait davantage de soufflements discrets, des fenêtres s’ouvraient, des feuilles voletaient pour aérer les tempes, bref, il était temps de faire une pause et d’apporter un peu d’air frais dans le local. Le Président a eu la prés(id)ence d’esprit de proposer de faire une pause, pour qu’on puisse dégourdir nos membres collants et moites (et là je ne parle pas du jury), qu’on puisse boire un coup et que je puisse me maudire encore une fois d’avoir mis un PANTALON avec une BLOUSE LONGUE MANCHES alors qu’ils annonçaient clairement plus de 30°. Michel (#bigup) a même été me chercher un ventilateur, qui a été activé fissa direction le bout de mon nez, et on a pu repartir sur les chapeaux de roue.

Comme certains membres du jury étaient absents, le président (qui faisait partie intégrante de mon jury et a donc lui aussi formulé des commentaires et posé des questions) a dû lire les rapports qu’il avait reçus. C’est un peu bizarre : répondre directement à des questions posées indirectement par des moment personnes absentes. L’avantage c’est que tu peux répondre à côté de la plaque parce qu’il ou elle ne sera pas là pour dire « non » quand tu dis « je sais pas si ça répond vraiment à la question… » (non je déconne ne tente pas ça chez toi) (réponds à la question). J’vais pas vous mentir, y a un des deux rapports qui était pas jojo et qui était à la limite de l’attaque personnelle, notamment sur le fait que j’avais un « style de comptoir » (alors que, hé, franchement, j’écris trô-bien-okay ?) et que j’avais opté pour l’écriture inclusive (considérée comme du « politiquement correct à outrance »). Aille aille. Heureusement, je l’avais vu venir, et je n’ai pas été spécialement touchée par ces propos globalement négatifs. L’autre rapport, d’un de mes membres de jury qui était à l’autre bout de la planète ce jour-là, pointait également, avec plus de tact, certains problèmes liés à la recherche menée, et en a profité pour pointer un élément que je voyais venir également : la place de l’humour, des jeux de mot et des références à la culture actuelle dans mon travail.

J’étais bien consciente que ça allait arriver un jour parce que l’humour n’a pas pour tout le monde sa place dans un travail scientifique (ni d’ailleurs dans une soutenance de thèse). Je n’ai aucun problème avec ça, c’est une question de point de vue et je n’ai jamais cherché à convertir tout le monde aux bienfaits de l’humour et des références populaires dans ce type de travaux. J’étais presque contente que ce soit pointé le jour de ma soutenance, même si c’était pour mettre en avant que ce n’était pas nécessaire, ça m’a permis de justifier mon recours à ces techniques discursives et à dire que mon but, c’était aussi un peu que ça m’amuse.

Ma soutenance a duré un peu moins de 3h : 3h de discussions riches, de pistes intéressantes, de compliments, de blagues graveleuses (quand même), de litres d’eau bus, puis transpirés, mais surtout 3h qui sont passées terriblement vite. J’ai commencé cette mini-série d’articles en disant que c’était la meilleure réussite de ma thèse et probablement un de mes meilleurs souvenirs. Je pense que ça tient surtout du fait que – attention minute émotion – il y régnait une véritable bienveillance, que tout le monde semblait véritablement content d’être là (ou en tout cas faisait drôlement bien semblant), et que j’avais toujours imaginé que la soutenance n’était « qu’un mauvais moment à passer », alors que c’est tout l’inverse. Je n’en retiens vraiment que du positif et c’était véritablement le meilleur moyen de clore ces 6 années de doctorat.

Je ne peux m’empêcher de revenir un peu sur l’actualité : en ce moment, dans la plupart des universités, les soutenances publiques se déroulent essentiellement en ligne, de façon plus ou moins publique. Cela comporte de nombreux avantages : la possibilité de soutenir dans les temps (en cas de volonté de postuler à un mandat postdoctoral ou à un job), le gain financier (on ne rembourse de facto pas les transports du jury et bon ça divise sévèrement la quantité de chips à fournir) (quoi que) et une audience qui peut être potentiellement considérablement augmentée. Les côtés moins sympas, c’est que ça ajoute un stress supplémentaire lié à la technologie, que tu n’as pas de drink (enfin tu peux en faire un seul·e mais c’est un poil moins funky), et qu’une fois que tu coupes Teams (ou Zoom, ou Skype, ou autre), t’es un peu « paf », tu n’as pas vraiment l’occasion de célébrer comme il se doit. Envie d’avoir le témoignage d’une jeune docteure en criminologie qui a soutenu en visioconférence ? Clique (sans vouloir te commander bien sûr)!

Les choses sérieuses : le drink

Et maintenant parlons peu (non), parlons bien (oui), l’un des moments les plus attendus de la soutenance, c’est le drink (aussi appelé dans un langage plus fleuri le « pot de soutenance »). Après avoir vaguement bafouillé des remerciements pour mon jury et toutes les personnes présentes, j’ai proposé à tout le monde de passer de l’autre côté de la salle pour partager un petit buffet de l’amitié. Ça parait idiot comme ça, mais symboliquement, le drink de soutenance est un moment important, qui suit directement la proclamation, c’est un moment de pure fête et de bonne humeur, et où tout le monde est littéralement en train de te chercher pour te féliciter. C’est aussi un moment qui s’anticipe un tant soit peu, parce qu’il n’est jamais utile de s’ajouter du stress lors de journées comme celles-là. Chaque université, chaque institut, chaque centre de recherche envisage l’organisation festive des soutenances à sa manière : certains offrent le drink, ou au moins les boissons, proposent une aide logistique (réservation d’un local, contacts traiteurs, etc.), quand d’autres laissent l’ensemble à la discrétion du ou de la doctorant·es (autrement dit, ils en foutent pas une et tu te démerdes). C’est bon de savoir à l’avance histoire de ne pas être pris·e au dépourvu quand le drink fut venu.

Moi, si j’ai bonne souvenance, on m’a gracieusement offert à boire (la facture des bulles a été envoyées à qui de droit) (autrement dit je ne sais pas à qui) et comme il était hors de question que je me stresse à préparer des petits canapés ou des chicons farcis à la crevette, j’ai fait ce que j’avais de mieux à faire : j’ai délégué. En gros quand on me disait poliment « tu dis hein si je peux faire quelque chose pour t’aider », je disais HOPHOPHOP pas si vite mon ami·e, je vois bien que ta question est rhétorique mais puisque tu le proposes, je veux bien que tu te mettes aux fourneaux ! En vrai j’étais plus délicate mais c’était l’idée : je pense que pas mal de gens avaient envie de pouvoir participer à l’effervescence de la journée et proposer son aide, donc toute la nourriture a été apportée par mes collègues, les ami·es et la famille. Boulettes, brownies, brochettes healthy, chips, cakes en tous genres, bulles à gogo et jus de fruit (pour le petit bonhomme d’1 an qui était là et qui m’a presque volé la vedette) ont rythmé cette fin de journée.

Moi en arrière plan, en train d’en foutre pas une avec les copines, et les collègues en train de s’affairer à faire tourner le bazar un peu correctement

Y a rien à faire : il existe peu de choses plus conviviales sur cette terre que de manger debout avec un verre de cava à la main en étant entouré·e de gens qu’on apprécie. C’est vraiment l’occasion aussi de partager un moment plus relax avec son jury, de partager ses plans d’après-thèse, de raconter ses idées de vacances, de dire chez quel éditeur la thèse sera publiée (ou pour moi : expliquer comment elle ne sera jamais publiée), de faire le tour des autres doctorant·es présent·es en disant “hé alooooorssss c’est qui le·la prochain·e ?? Clin d’oeil, clin d’oeil”, etcétéri, etcétéra. Bref, le drink, c’est un grand oui pour la vie. 

Mes conseils de Mère Grand pour une soutenance réussie

Toi : « Grands dieux Sophie, tu nous as vraiment pondu 10 pages sur ton récit de soutenance qui a eu lieu il y a 3 ans ? »

Moi : « Eh oui Jean-Jacques, mais comme je suis sympa, je vais te faire un petit résumé de mes conseils pour bien organiser et vivre sa soutenance de thèse »

  • Le point administratif : assurez-vous d’être en ordre d’un point de vue administratif, renseignez-vous auprès des personnes ad hoc dans votre université pour éviter de devoir changer de date en dernière minute ou de devoir modifier la composition du jury parce que ce qui a été proposé ne correspond pas à ce qui était prévu dans l’accord de cotutelle (par exemple).
  • Anticiper et se préparer : Bien connaître son jury permet d’anticiper des questions qui seront posées lors de la soutenance. Je pense qu’une grosse partie du stress vient de la peur d’être coincé·e par une question alors qu’on ne répètera jamais assez : le/la super spécialiste de ton sujet, c’est toi. Par ailleurs, il est essentiel de bien maitriser sa présentation de soutenance, cela donne confiance et ça donne le ton pour l’ensemble de l’exercice. N’hésite pas à le péter et le répéter face à un public averti.
  • Une soutenance qui vous ressemble : la soutenance publique de thèse est un moment important, il s’agit d’un examen à l’issue duquel un diplôme est délivré. Cela ne dispense pas de passer un bon moment et donc de proposer une soutenance qui vous ressemble : amusez-vous (dans la mesure du raisonnable et de l’acceptable) dans votre présentation, parlez de que vous avez aimé dans votre recherche, appropriez-vous ce moment dont vous vous souviendrez longtemps et profitez-en !
  • Prévoir un plan B : renseignez-vous tout de même sur les modalités d’organisation des soutenances en ligne, sur le logiciel à utiliser (certaines universités en imposent), discutez avec quelqu’un qui a dû soutenir par visio pour éviter certains pièges technologiques.
  • Déléguer : à moins que tu aies fait un doctorat en cuisine appliquée (ne cherche pas ça n’existe pas), il n’est pas essentiel que tu te stresses à devoir organiser un drink. Laisse donc ça aux 15 personnes qui t’ont proposé leur aide et qui seront ravies de t’aider. C’est également valable pour le fléchage et pour aller chercher les gens qui n’ont pas bien suivi le fléchage et qui sont perdus dans le dédale de ton université.

Tu as déjà passé ta soutenance et tu as plein de bons conseils à partager? N’hésite pas à laisser un petit commentaire!

Pssssst… Comme je radote, j’avais déjà un peu parlé de tout ça ici, mais nettement moins longuement, convenons-en.

Mon récit de soutenance (II)
Étiqueté avec :

Un avis sur « Mon récit de soutenance (II) »

  • 5 décembre 2020 à 9 h 30 min
    Permalien

    Bonjour

    Je viens de soutenir également il y a quelques mois et pour ceux qui souhaiteraient savoir comment cela s’est passé pour moi, n’hésitez pas…de bons conseils peuvent surgir

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