Le doctorat de A à Z

En décembre 2019, j’ai eu envie de jouer la blogueuse de service sur la page Facebook du blog et proposer une variante du calendrier de l’Avent ! Au lieu de permettre de gagner un cadeau par jour (sorry je suis pas encore #sponso), j’ai décidé de proposer un petit abécédaire de la thèse. 1 jour, 1 lettre, 1 mot, 1 concept : le doctorat de A à Z ! Et comme je suis une meuf sympa, plutôt que de vous faire scroller dans la page Facebook, je vous ai compilé ici toutes les lettres ! Bonne lecture et … bonne année 2020 ! 

 
A comme … Administration !

Hé oui je sais, Halloween est déjà passé et je suis là à ressortir des trucs qui font peur ! Sorry ! C’est vrai que le volet administratif du travail de doctorat est souvent vu comme une activité essentiellement chronophage, énergivore et, disons-le franchement, un peu barbante. Or, c’est un travail indispensable : demandes de financement, reporting, demandes de remboursement, encore une demande de financement, en anglais cette fois, encore un reporting, en 3000 signes espaces compris, encore une demande de remboursement parce que l’autre n’a pas été dûment complétée, … Y a rien à faire, ça demande du temps, de l’énergie, et surtout de la résilience.

B comme … Burn-out

Eh oui, malheureusement, le burn-out fait partie du vécu de nombreux·ses doctorant·es ! La santé mentale et le bien-être dans le cadre de la thèse intéressent de plus en plus les professionnel·les du doctorat et deviennent petit à petit une véritable préoccupation dans les universités. Les petits conseils de What-Sup : parlez-en (amis, collègues, promoteur·rice) et renseignez-vous auprès de votre université pour savoir quels sont les services qui peuvent vous aider #youcandoit 

Souviendez-vous : on en a déjà parlé par ici

C comme … Cotutelle

La cotutelle : pain béni ou pain moisi? La cotutelle est un dispositif qui permet d’obtenir une diplomation conjointe entre deux institutions (du même pays, ou non). Elle suppose d’avoir 2 promoteurs ou promotrices et de passer un temps significatif dans les deux institutions. Parfois,  c’est top. Parfois pas. Gros avantages : tu t’en sors avec deux diplômes et tu peux déjà valoriser une bonne expérience internationale #painbéni. Gros inconvénients nazes : à force d’être à cheval entre 2 universités, tu n’es vraiment 100% intégré nulle part, et, la plupart du temps, les voyages sont à tes frais #painmoisi 

D comme … Défense de thèse

N’en déplaise aux plus puristes de la langue, en Belgique, les thèses, on les défend. Bon, on défend, on soutient, la vérité c’est qu’on s’en fout un peu : du moment qu’il y a un drink ! Toujours est-il que le système actuel prévoit une défense privée et une soutenance publique. Ces deux épreuves peuvent avoir lieu soit dans la même temporalité soit avec un éloignement temporel. La thèse doit être présentée lors d’un exposé oral qui est suivi de questions de l’ensemble des membres du jury. Et après 2-3 heures qui passent généralement en un claquement de doigts, tu es proclamé-e docteur-e, et tu peux aller célébrer ça en t’enfilant 4 magnums de champagne (quoi, on dit des magni?) !

E comme …  Étudiant·e !

On a parfois tendance à l’oublier, mais les doctorant·es sont aussi des étudiant·es. Et ce, même si la thèse tend de plus en plus à être considérée avant tout comme une expérience professionnelle (ce qui est une excellente chose). Il n’empêche que le doctorat étant une formation diplômante, il faut s’inscrire comme étudiant·e à l’université et suivre une formation à l’Ecole doctorale. Et donc (souvent) payer les droits d’inscription…

Ah oui mais surtout, ça te permet d’avoir une réduc’ au ciné, au Quick et chez certains coiffeurs. Merci la vie !

 
F comme … Financement

La lettre F nous permet de nous intéresser au nerf de la guerre : la thune, le blé, le flouze, les biftons, l’oseille, le #fric. La question du financement de la recherche doctorale est sensible et est à l’origine de beaucoup de joies, de peines, de problèmes et de solutions. Faire une thèse sur fonds propres n’est clairement pas la même réalité que de réaliser une thèse entièrement financée par un bailleur de fonds : au-delà de certains droits différents, ce sont les questions d’énergie, de temps consacré à la recherche et de valorisation du parcours qui arrivent sur la table.

G comme … Grade

La soutenance d’une thèse entraîne l’obtention du grade de docteur·e : il s’agit donc du titre qui sanctionne la réussite du 3ème cycle universitaire. En Belgique (et en France aussi si je ne m’abuse), le grade est attribué sans mention. En gros, on est docteur·e, ou on ne l’est pas, et il n’est pas question de distinction, grande distinction, félicitations du jury ou compagnie. Du moins officiellement, parce que de nombreux jurys accordent encore, de façon informelle, des petites félicitations officieuses qui ne sont consignées nulle part à part dans la tête de l’impétrent·e. C’est rare, mais ça arrive. Et vous, vous trouvez ça bien qu’il n’y ait plus de mention pour l’attribution grade de docteur·e?

H comme … Horaires

La question des horaires de travail des doctorant·es est centrale quand on s’intéresse aux problématiques liées à la thèse. Comment organiser son travail? Travailler quand on veut? Quand on peut? Le soir? les week-ends? de 9h à 17h? Prendre son ordinateur en vacances? Prendre des vacances sur son ordinateur (#ehbehpourquoipas)? La thématique du bien-être et de la préservation de la santé mentale des doctorant·es devenant de plus en plus prégnante, ce sont des questions qu’il convient de poser pour (justement) poser un cadre clair dès le début de la thèse ! Et vous, quelles sont vos habitudes? 

PhD Comics © Jorge Cham
I comme … International

J’ai déjà eu l’occasion d’en parler sur le blog : la dimension internationale du parcours doctoral et postdoctoral peut s’avérer déterminante pour la poursuite de la carrière. Les voyages, ça forme la jeunesse qu’ils disaient ! C’est vrai que c’est chouette une petite expérience à l’étranger, on découvre plein de choses: la culture (=la bouffe), les spécialités régionales (= l’alcool), différentes manières de faire de la recherche (= l’alc… ah non), d’enseigner et toutichianti #bilinguisme. Une expérience (significative) de recherche à l’étranger est fortement valorisée dans les octrois de bourses, financements mais aussi dans le cadre de l’obtention de postes définitifs. La question reste toutefois : assiste-t-on alors à une circulation ou une fuite des cerveaux?   

 

J comme … Jury

Ah le jury de thèse ! Il s’agit d’une brochette de spécialistes (de préférence) qui jugent la qualité de la thèse en te cuisinant lors de la #défense de thèse. Composé généralement et à la grosse louche d’une demi-douzaine d’individus, le jury rassemble des membres de l’université (ou des universités, en cas de #cotutelle) où la thèse a été réalisée, mais aussi des membres extérieurs. La mission du jury (s’il l’accepte) (en général il accepte) (sinon ça n’a pas de sens) (et c’est la merdasse pour les doctorant-es) BREF sa mission : lire la thèse de A à Z, trouver qu’elle est trop bien, dire qu’elle est trop bien, poser des questions mignonnes lors de la défense, puis faire l’animation en étant un peu pompette lors du drink de soutenance. Non? C’est pas ça? Ça devrait. 

K comme … 

Bon jusque là, trouver des mots pour le #CalendrierWhatSup était relativement aisé. Mais K, on va pas se mentir, c’est pas une lettre. Et pourtant je vous dis ça avec le Larousse ouvert à “kilowattheure”, donc je sais bien que la lettre existe, mais je ne trouve pas “the one”.

 Alors oui je pourrais bien vous parler des #kilos qu’on prend ou qu’on perd pendant la thèse, que la recherche peut être un véritable #kiff, j’aurais pu faire une spéciale #jeboisdesKrieksauKot ou encore parler de la dimension #kafkaïenne de certaines démarches à faire pendant la thèse. Mais non, tout ça me paraissait trop alambiké.

Alors comme j’ai une passion sans nom pour les koalas, je vous laisse admirer cette illustration trop choupinette et retourner vaquer à vos occupations avant la reprise, demain, du cours normal du #CalendrierWhatSup avec la lettre L !

L comme … Lecture 

On va pas se mentir, en thèse, s’il y a bien un truc qu’on fait à foison (c’est pas facile à dire ça “fait à foison, fait à foison”), c’est lire. On lit tout et parfois n’importe quoi : des livres, des articles, des mails, des rapports, on relit nos propres articles, 2, 3, 12x (mais ça ne sert à rien parce que ne repéreras les coquilles que quand l’article sera soumis aux revues), on relit des articles qu’on avait déjà lus y a 3 ans mais qu’on avait oubliés, on lit des romans pour se changer les idées, on relit les mails d’invitation aux réunions parce qu’on est pas au bon endroit, on lit encore des monographies, des protocoles, des procédures, des documents administratifs, on lit des règlements, on lit des appels à communication, des appels à candidature, des appels téléphoniques mais ça c’est chelou parce que ça veut dire que tu fais partie de la NSA, on lit encore des articles, on pleure parce que ce qu’on pensait être une grande découverte scientifique n’est en réalité pas ta grande découverte scientifique, mais aussi (surtout), on lit des articles sur What-Sup parce qu’il faut quand même bien de temps en temps rigoler un coup.

M comme … Motivation

[Lettre M publiée sur la page le 13 décembre de l’an 2019, aka mon ANNIVERSAIRE 🥳 Comme ça tu saches pour l’année prochaine]

La motivation (enfin surtout le manque de motivation) est un enjeu majeur dans le travail de thèse ! C’est sûr que la réalisation d’un doctorat demande de la discipline et du travail, mais le moteur de tout ça est sans conteste la motivation, et ce, quelle qu’elle soit. Comment maintenir (ou retrouver) ta motivation? Il y a quelques truczéastuces 🕵️‍♀️! Par exemple : se souvenir des raisons pour lesquelles tu t’es lancé·e dans une thèse, arrêter de se comparer aux autres qui semblent avancer vite et mieux, se fixer des objectifs réalisables, lister toutes les choses accomplies (ça fait un bien ouf !) ou te vider l’esprit en faisant du sport, ou te remplir la panse avec des Ferrero Rocher #hébéhpourquoipas

Sinon, quel heureux hasard du calendrier, le super site TRESS Academic vient justement de publier un article sur la motivation !

N comme … non-académique

Souvent quand il est question de recherche d’emploi après la thèse, on oppose les possibilités de carrière dans le monde académique, et les possibilités hors-académique. Les initié·es comme toi et moi parlent de “aca” et “non-aca”, que, je sais pas toi, mais moi j’ai tendance à prononcer avec un fort accent ucclois mais je sais bien que ce n’est pas le sujet. La question de la pertinence d’une forme d’opposition entre ces deux “mondes” se pose parce que le non-aca est souvent considéré comme un plan B, comme une alternative, comme quelque chose vers lequel on se tourne par dépit si le plan A(ca) n’a pas fonctionné. Et si la valorisation des parcours professionnels des docteur·es passait avant tout par une redéfinition de la notion de “carrière alternative”? 

O comme … Organisation

Aujourd’hui, c’est dimanche, et si tu n’es pas comme moi, tu es peut-être en train d’organiser ta semaine. L’organisation est essentielle dans tout travail, et dans le doctorat en particulier. S’organiser adéquatement, c’est trouver une méthode de travail qui nous convient, ce n’est pas copier-coller une méthode formatée qui a toutes les chances de ne pas aboutir si elle n’est pas personnalisée. Organiser ses travaux de recherche et sa période de rédaction demande du temps, des essais, des ratés, pour finalement trouver le mode d’organisation adéquat, celui qui permet d’avoir un rythme tenable. Il y a plein de moyens : faire des to-do lists, afficher un planning à son bureau, utiliser des logiciels spécifiques ou encore paniquer et terminer tout ce qu’on a à faire à l’arrache #testémaispasapprouvé.

Pour les fans de Friends, j’aurais aussi pu dire “O comme … OH WOW” 

P comme … Postdoc

Postdoc est l’abrégé des initié·es comme toi et moi pour parler des chercheur·es postdoctoraux: “post” venant de la 3ème déclinaison de l’ancien hébraïque sumérien signifiant “après” et doc, étant l’équivalent de “Quoi d’neuf docteur?” sans le “Quoi d’neuf” et le “-teur”. Bref on s’intéresse aujourd’hui à l’after-thèse ! Généralement après un doctorat, on cherche des financement pour continuer, approfondir ou réorienter ses recherches. Les contrats et financements postdoctoraux sont très variés, ils peuvent durer quelques mois comme des années, ils peuvent porter sur un sujet prédéfini ou financer une recherche proposée par le·la candidat·e. Ils sont indispensables dans l’optique du carrière académique. Tellement indispensables qu’ils sont parfois (ac)cumulés et qu’on parle aujourd’hui de plus en plus du phénomène des perma-docs, ces chercheur·es qui enchaînent postdoc sur postdoc (sur postdoc) en espérant obtenir un poste permanent.

Q comme … Quatre ans 

En Belgique francophone, la durée traditionnelle de la réalisation d’une thèse est de 4ans, parce que la plupart des financements durent … 4 ans (et plus précisément 2×2 ans). Evidemment, toutes les thèses ne durent pas 4 ans #loindelà. Pour peu qu’on conjugue thèse et activités d’enseignement (à temps plein ou temps partiel), qu’on se soit tout simplement pas financé·e, ou que la vie en décide autrement, il y a fort à parier que la thèse dure 5, 6, 7ans ou parfois plus. 3 FUNFACTS (non) à propos de la durée des thèses :

– Il n’y a pas de lien entre durée de thèse et qualité de la thèse

– La durée dépend beaucoup des secteurs et des domaines de recherche

– Rien de sert de courir, il faut partir à point #lafontainestyle
 
R comme … Rédaction

La période de #rédaction de la thèse est bien l’un des rares points communs entre absolument toutes les thèses ! Si chaque thèse a sa propre histoire en termes d’encadrement, d’ambiance, de recherches, tou·te·s les doctorant·es doivent à un moment ou à un autre rédiger leur thèse pour rendre accessibles les résultats de la recherche. Pour certain·es, c’est une étape aisée et agréable, parce que c’est justement un moment où toute la recherche effectuée s’imbrique, s’emboîte et “fait sens” comme on dit en mauvais français. Pour d’autres, c’est un véritable chemin de croix, trouver les mots (et les bons, de préférence) peut s’avérer très compliqué : être sûr·e que ce qu’on écrit reflète bien ce qu’on a en tête n’est pas forcément une évidence. Le conseil #WhatSup : trouver son rythme de rédaction et ne pas chercher la phrase parfaite à tout prix !

S comme … Séjour de recherche

Le #CalendrierWhatSup s’était déjà vaguement intéressé à ce sujet avec la lettre #Icomme #international mais je vous propose ici un focus sur les #séjoursderecherche. En effet, développer le volet international de son dossier académique, ce n’est pas uniquement passer par la case “postdoc au bout du monde pendant 17 ans”. Il est aussi possible d’effectuer des séjours de recherche à l’étranger durant la thèse ! Il faut avant tout identifier l’institution d’accueil et se renseigner auprès de votre université sur les possibilités de financement. En fonction des exigences de l’institution et du bailleur de fonds, renseignez-vous sur les critères d’éligibité et les aspects administratifs, histoire de ne pas être pris·e au dépourvu quand la bise fut venue.
Le conseil #WhatSup : s’y prendre tôt, très tôt ! Il faut parfois plus d’un an pour pouvoir réaliser toutes les démarches.

T comme … thésad·e

Thésard·e est un terme avant tout utilisé chez nos voisins amateurs de fromage rance pour désigner quelqu’un qui fait une thèse. C’est très (très) peu utilisé en Belgique où on a réalisé depuis bien longtemps que le terme “doctorant·e” était tout à fait fonctionnel. Vous ne le saviez peut-être pas mais je suis l’une des membres fondatrices de la LPEMTPQVT (la “Ligue Pour l’Éradication du Mot Thésard·e Parce Que c’est Vilain comme Tout”).

Les mots en -ard sont globalement péjoratifs, et à l’heure où on cherche constamment à valoriser le diplôme de doctorat, peut-être qu’on pourrait commencer par ne pas désigner les doctorant·es par un mot si dépréciatif?

U comme … Université

L’université est ce lieu enchanteur à la sociabilité tout à fait particulière. Étudiant·es, chercheur·es, enseignant·es, personnel administratif, tous et toutes évoluent dans cet écosystème singulier pour réaliser les trois missions centrales de l’université : l’enseignement, la recherche et le service à la société. Dans l’ensemble de ces missions, un élément est central : l’innovation. Pédagogies innovantes, recherches originales, développement de stratégies novatrices ou encore applications concrètes de technologies, il existe de nombreuses façon de faire tourner les universités et la société en conjuguant le verbe innover #poésie. 

Soutenir les universités, leur donner les moyens de réaliser leurs missions, stimuler les collaborations, c’est s’assurer d’une mise à disposition d’une expertise et d’un esprit critique qui permettent de faire face aux défis actuels.

Ce post publicitaire vous est proposé par la “What-Sup Corporation : ensemble, allons plus loin, plus fort et soyons uni(versité)s”  

V comme … Valorisation

La valorisation de la recherche comporte plusieurs facettes : du transfert de technologies et de connaissances aux divers moyens de diffuser et de vulgariser les résultats des travaux menés, c’est en réalité un concept très large ! Il existe dans toutes les universités (#àcequejesache) des services de transfert de technologies (les technology ou knowlegde Transfer Offices – KTO ou TTO). Leur mission : trouver le moyen de faire en sorte que les résultats de la recherche puissent être exploités et transférés vers la société ! Par exemple, via la création de spin-offs ou le dépôt de projets auprès de bailleurs de fonds pertinents (de préférence) (sinon c’est mal barré).

Pour le reste, je perds pas le nord et je vous renvoie directos sur le blog puisque j’ai déjà bafouillé sur la question !

W comme … What-Sup évidemment ! 

Alors je vais tout de suite vous faire une confession : pour des raisons totalement dépendantes de ma volonté, les lettres X, Y et Z sont déjà parties au ski et seront donc absentes du #CalendrierWhatSup. Du coup, pour cette dernière lettre, on s’intéresse à … What-Sup bien sûr !

Il y a un peu plus d’un an, je prenais le pari de lancer un blog sur le doctorat en Belgique francophone. Proposer des publications autour de la thèse, ses joies et ses peines, l’accompagner d’une page Facebook pour partager des articles, des images rigolotes, des événements : BEST IDEA EVER ! Je sais pas toi, mais moi, je m’éclate !

J’ai plein d’idées pour 2020, mais vous, qu’est-ce qui vous ferait plaisir? N’hésitez pas à commenter ! 

 

Voilà, c’est la fin du #CalendrierWhatSup 2019 ! Merci de votre fidélité et à bientôt pour de nouvelles aventures ! 

L’abécédaire du doctorat
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